Bonjour, je m'appelle Judith Leroy Esvan !

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J'aide les atypiques à devenir les créateurs de leur vie, pour quitter l'auto-pilote, guérir et grandir, au croisement de l'astrologie, de techniques issues du développement personnel et de la connexion aux mondes invisibles.

Mais comment en suis-je arrivée là ?

Après plusieurs vies (universitaire, prof, archiviste, mère au foyer...), toutes passées dans un matérialisme convaincu autant qu'aveugle, j'ai réalisé "qu'il y a bien plus sur Terre et dans le Ciel, Horatio, que dans toute votre philosophie", comme le dit Shakespeare, et que la souffrance psychologique et morale dans laquelle je vivais depuis mon enfance n'était pas un état naturel ni inévitable...

J'ai réalisé que je ne vivais pas ma vie, mais celle qu'on avait dessinée pour moi et que cela m'avait rendue anxieuse et dépressive. Je me suis formée à la sophrologie, puis à la PNL, au coaching et j'ai aussi exploré mes capacités cachées en devenant maître Reiki. Et tout cela prit tout son sens quand j'ai décidé d'étudier l'astrologie, qui est la discipline la plus complète, la plus ancienne, la plus pratique et la plus adaptée à notre époque !

Il a quand même fallu un burn out et une méga-dépression (je ne fais rien à moitié !) pour que se révèlent non seulement mes addictions, mais aussi et surtout (parce que ça a été réellement une clé pour moi), un neuro-atypisme, que je suspectais depuis longtemps.

Être diagnostiquée TDA/H à plus de 50 est une sacrée aventure, c’est déstabilisant et cela oblige à une relecture totale de décennies entières où l’on n’était pas soi, où l’on portait des masques, où l’on vivait sans être vivant. Une coquille vide, c’est ainsi que je me voyais…

Alors qu’en vérité, j’étais juste littéralement déconnectée de moi, du moi le plus profond, pensant que “c’est ainsi que les hommes vivent”, pour paraphraser Aragon.

Fruit d’une époque, et d’un milieu, et d’une mère particulière, j’étais (comme tout le monde) absolument contingentée par l’extérieur et au total, je m’en suis plutôt pas mal sortie, si l’on fait abstraction de la douleur intérieure… Mais quoi ! Tous mes poètes préférés le disaient, mes chanteurs favoris aussi, vivre fait mal. “Au bord du gouffre” était le mantra de mon adolescence, j’en couvrais cahiers et pupitres, sans trop savoir pourquoi. Mourir était une idée avec laquelle je jouais, mais que jamais au grand jamais, je n’aurais expérimenté puisque je ne m’appartenais pas. Même l’abandon au désespoir m’était interdit… et en définitive, j’en suis très reconnaissante. Comme du reste d’ailleurs. Mes parents ont fait de leur mieux, réellement, il m’a juste fallu du temps pour réaliser que “leur mieux” n’était pas le mien…

Je me devais donc d’être vivante, ce que j'ai globalement réussi, et aussi de “faire Normale” selon l’injonction maternelle….

Or, Normale Sup l’école, j’ai pas réussi, pas plus que nomale tout court. J’ai choisi un doctorat d’histoire de l’art religieux sur l’Allemagne de la fin du moyen âge, parce que c’était à la fois me rapprocher de mon père d’origine allemande, et faire fulminer ma mère, mystique refoulée reconvertie dans le freudianisme matérialiste pur jus. Et après avoir passé 6 ans et 1500 pages dessus et avoir reçu la plus haute mention pour ce travail, j’ai tout envoyé balader pour me marier en Bretagne avec un ouvrier à la stupéfaction gênée de tout le monde. Mais 20 ans après, nous sommes toujours là, toujours ensemble.

Ce sont mes 3 enfants, eux-mêmes complètement atypiques, qui m’ont permis de faire ce trajet douloureux vers moi et d’en tirer des connaissances que je transforme aujourd’hui en enseignement.

Après donc une carrière intellectuelle, j’ai choisi d’exercer en tant que sophrologue, et je me suis assez vite trouvée confontée aux limites de la pratiques. En parallèle, j’avais repris langue avec mon intérêt pour tout ce qui relevait de l’histoire, des mythes, et puis aussi du surnaturel et du paranormal. Libre que j’étais désormais, j’ai exploré l’occultisme et les pratiques hermétiques. Mais je ne me suis pas arrêtée à cela, j’ai accumulé les certifications : EFT, PNL, thérapie quantique, lecture de Tarot, Reiki, Géruison avec les énergies angéliques, psychologie des profondeurs, Travail de l’Ombre, thérapie par le Journaling… tout mélanger dans cette présentation est délibéré (et je ne suis même pas exhaustive), parce que je ne mets plus de hiérarchie dans les enseignements. J’ai en effet appris que ce qui compte, c’est surtout l’enseignant, qui offre à l’élève la meilleure manière d’utilier son enseignement, plus que la discipline elle-même.

J’ai aussi appris et pratiqué la compassion, la grâce et l’humilité, et on ne peut pas dire que j’étais douée dans aucun de ces domaines…

Ce site, et ce que j’y propose, est le fruit d’un travail acharné, mais chaotique qui dure depuis 2018.

J’espère sincèrement pouvoir accompagner ceux qui résonnent avec mes énergies, dans ce monde hyper challengeant, où le besoin de se retrouver soi-même est impérieux, mais où les injonctions contradictoires sont légion.

J’espère que tous ceux qui ne se retrouvent ni dans la spiritualité facile prémâchée des réseaux sociaux, ni dans le matérialisme scientiste pur et dur, ni dans les thérapies par la parole du siècle dernier trouvent ici un havre, un espoir.

J’espère que tous entendront ce message, auquel je crois résolument :

Vous êtes plus fort que vous ne croyez.

Le monde a besoin de vous.

Prenez soin de vous.

Blessed Be.

(Bénédiction wiccane, utilisée fréquemment dans les milieux païens anglo-saxons. Pour en savoir plus sur mes croyances, cliquez ici.)